étude de la relation homme-chien en situation anxiogène.
Dans cette étude, il s’agit de voir quels liens existent entre le profil comportemental d’un maître, plus ou moins anthropomorphique, et le niveau de stress de son chien.
conduites anthropomorphiques et stress chez le chien.
Les résultats obtenus montrent qu’il y a bien un lien entre certains critères phénotypiques (la taille et le port d’accessoires chez le chien) et le profil comportemental du maitre (fait de rentrer plus ou moins en contact avec son animal).
De plus, cette étude montre aussi que l’interaction caractérisant la dyade est corrélée positivement au niveau de stress du chien : les chiens stressés appartenant à un couple maître-chien qui interagit activement
étude comparative de l’interaction homme-chien lors de séances d’éducation
Le but de cette étude est de comprendre pourquoi un éducateur canin arrive à obtenir d’un chien tel ou tel comportement, alors qu’un propriétaire rencontre des difficultés.
pourquoi un éducateur canin arrive-t-il à obtenir un resultat?
Un élément de réponse à cette interrogation est la mise en œuvre d’un certain nombre et d’un certain type de stimuli.
Ces stimuli pouvant provenir des différents canaux de communication que partagent l’Homme et le chien, à savoir le canal verbal, non verbal et para verbal.
Les résultats confirment le fait que les éducateurs obtiennent plus efficacement les comportements voulus que les propriétaires. Ces différences peuvent s’expliquer par le nombre et le type de signaux employés.
Ainsi, les éducateurs utilisent plus de signaux verbaux pour la marche aux pieds et moins pour les autres exercices. Ils adressent aussi plus de regards au chien et utilisent plus le canal para verbal (différence de timbre de voix, prosodie,…).
Quels sont le rôle et la place de la sanction en éducation canine?
Peut-on s’en passer ? Quels résultats apporte t-elle?
Pour répondre à cette question, trois groupes de couples maître-chien ont été composés:
- + le premier devant réaliser les apprentissages avec la récompense,
- + le second avec la récompense et la sanction de manière équivalente,
- + le dernier devant les réaliser avec l’emploi majoritaire de la sanction.
Les résultats montrent que le sanction est nécessaire pour la phase d’endurcissement (fait de réaliser les apprentissages même en milieu stimulant : présence d’autres chiens, animaux,…). De plus, l’emploi conjugué de la récompense et de la sanction permet d’obtenir de meilleurs résultats, en particulier pour les exercices du « couché » et du « pas bouger ».